Projets csaip

Le changement climatique menace d'avoir des répercussions importantes sur le secteur agricole de la Côte d'Ivoire, qui est au cœur de la productivité économique et de la sécurité alimentaire du pays.
La Côte d'Ivoire est signataire de l'accord de Paris de la Convention-Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques (CCNUCC) et a soumis ses contributions nationales déterminées (NDC), s'engageant à prendre des mesures tant pour l'adaptation au changement climatique que pour la réduction des émissions de gaz à effet de serre.
La Côte d'Ivoire est de loin un émetteur mineur de gaz à effet de serre.
Ce document présente un plan d'investissement pour une agriculture intelligente face au climat (CSAIP) en Côte d'Ivoire, élaboré avec le soutien de l'initiative AAA et de la Banque Mondiale, et l'assistance technique du programme de recherche du CGIAR sur le changement climatique, l'agriculture et la sécurité alimentaire (CCAFS).

Ce plan a priorisé un ensemble de 12 investissements et des actions clés de l’Agriculture intelligente face au climat, nécessaires pour stimuler la résistance des cultures et améliorer leurs rendements pour plus de 2,2 millions de bénéficiaires et de leurs familles, en les aidant à s’adapter aux changements climatiques.

Parce qu'elle est membre de l'initiative AAA et qu'elle s'est également engagée à respecter ses engagements en matière de NDC, la Côte d'Ivoire dispose désormais d'un plan d'investissement qui comprend un ensemble de projets climatiques intelligents spécifiques qui améliorent la productivité, construisent la résilience au changement climatique et, le cas échéant, réduisent les émissions de gaz à effet de serre dans le secteur agricole.

Ce document fournit un plan d'investissement pour une agriculture intelligente face au climat (CSA) au Mali, développé avec le soutien de l'Initiative AAA et de la Banque mondiale, et l'assistance technique du Centre international d'agriculture tropicale, du Centre mondial d'agroforesterie et du Programme de recherche du CGIAR sur l'agriculture, le changement climatique et la sécurité alimentaire (CCAFS). Il identifie des interventions spécifiques qui définissent des actions sur le terrain qui sont cohérentes avec les NDC et la stratégie agricole nationale du Mali, et qui peuvent être financées par des partenaires des secteurs public et privé.
Ce plan comprend un ensemble de 12 investissements clés du CSA pour le Mali qui ont été élaborés avec la participation active des parties prenantes, l'apport d'experts et scientifiques, pour renforcer la résilience des cultures

et améliorer les rendements de plus de 1,8 million de bénéficiaires et de leurs familles, en les aidant à s’adapter au changement climatique.
En tant que membre de l’initiative AAA qui s’engage également à respecter ses engagements en matière des NDC, le Mali dispose désormais d’un plan d’investissement comprenant un ensemble de projets spécifiques intelligents face au climat qui améliorent la productivité, renforcent la résilience au changement climatique et, le cas échéant, réduisent les émissions de gaz à effet de serre dans le secteur agricole.
Le CSAIP fournit le contexte et les preuves de l'importance de ces projets, et détaille comment ils peuvent être économiquement bénéfiques et fournir la sécurité alimentaire au peuple du Mali.

Le climat du Maroc change avec la hausse des températures, la diminution des précipitations et l'augmentation de la fréquence des sécheresses. Le changement climatique exerce une pression croissante sur l'agriculture, l'eau et les ressources foncières au Maroc, avec de fortes répercussions sur la production agricole. Le CSAIP pour le Maroc s'aligne sur les développements de l'agriculture marocaine intelligente sur le plan climatique et s'appuie sur un bilan des réalisations du Plan Maroc Vert (PMV), ainsi que sur des travaux d'analyse.
Il a été conçu pour :

identifier et hiérarchiser les possibilités d'investissement intelligentes sur le plan climatique en s'appuyant sur les stratégies en cours;

établir une liste restreinte des projets les plus pertinents sur le plan socio-économique et les plus mûrs pour être mis en œuvre ;

identifier les sources de financement potentielles ;

mettre au point un système de suivi et d'évaluation, y compris l'apprentissage par la pratique et le partage d'expériences.

L'élaboration du CSAIP Maroc a également pris en considération un certain nombre de documents stratégiques liés au climat, y compris un rapport sur les contributions nationales déterminées (NDC) avec des actions d'atténuation appropriées au niveau national (NAMAs) et des programmes d'adaptation. Une stratégie de développement des émissions les plus faibles (LEDS) et un plan d'action national d'adaptation (PANA) sont également en cours de finalisation.
Le CSAIP fournit une plateforme pour un financement supplémentaire provenant de sources publiques et privées telles que le Fonds vert pour le climat (GCF), le Fonds d'adaptation et les partenaires de développement.
Il comprend trois catégories de projets : - Les projets en cours qui peuvent être éligibles pour une extension dans une deuxième phase, avec un accent accru sur la résilience ; - Les nouveaux projets avec un accent fort sur la résilience, tels qu'identifiés par les agences compétentes ; - Les projets autonomes de renforcement des capacités, y compris, mais sans s'y limiter, ceux qui sont importants pour accroître l'efficacité d'autres programmes clés ou pour combler les lacunes en matière de connaissances.